A lui tout seul, l’arbre est un vrai service public !
Catégorie : Tribunes
Les Agricultures en Ville
Concernant l’installation, le réseau « agriculture paysanne et biologique », propose aujourd’hui de nouveaux outils, les « espaces tests agricoles ». Ce sont des lieux où les porteurs de projets agricoles, peuvent tester leur future activité et s’installer ensuite si cela leur semble pertinent. Ces espaces test peuvent être temporaires ou permanents. Une opportunité pour Saint Pierre !
Eau potable : nos solutions
Sauf que les1,3 millions d’euros prélevés sur nos factures d’eau ont été engloutis dans le budget communal (voir notre tribune de mai) alors que la métropole, qui a fait ce généreux cadeau aux communes, n’a pas le premier centime pour cela. Nous n’avons pas à faire les frais de ces petits arrangements ! Que la métropole assume ses responsabilités en connectant Saint Pierre au réseau de Tours, sans attendre les calendes grecques !
La majorité municipale invente l’impôt sur l’eau.
Et ce n’est pas encore fini ! La métropole endormie sur ses lauriers, demande le maintien de la régie municipale en 2017. Il y a donc encore un budget de la régie de l’eau en 2017, avec les mêmes prix qu’en 2016 et les mêmes excédents (environ 300 000 euros) qui viendront combler le déficit du budget municipal 2018 . Ainsi, nous paierons sur notre facture d’eau, une partie de nos impôts des 2 prochaines années, et nous attendrons longtemps de l’eau non calcaire. Corpopétrussiens, ouvrez les robinets, ce sont vos impôts qui coulent !
Une Métropole pour quel projet de territoire ?
Nous nous sommes prononcés pour l’étape de passage en Communauté Urbaine qui aurait permis d’organiser plus sérieusement les choses. Au lieu de cela, tout est précipité et au final, rien n’est prêt : la soi disant métropole n’a pas les moyens de gérer l’eau, l’urbanisme ; tout se fait dans la confusion la plus totale.
Mais pas question d’abdiquer sur les sujets qui nous tiennent à cœur : la qualité de l’air, une régie intercommunale de l’eau, des transports collectifs à la mesure des besoins, le développement d’une agriculture urbaine, une meilleure gestion des déchets, une stratégie des risques d’inondation concertée et assumée par tous.
Crise de la démocratie.
Nous sommes persuadés qu’une partie de la solution réside dans la démocratie participative et citoyenne que nous défendons depuis bientôt quinze ans. La majorité municipale organise certes des réunions publiques sur le budget, les risques d’inondation, le Plan Local d’Urbanisme ; à la Rabaterie elle met en place le Conseil Citoyen prévu par la loi … Pourquoi faut-il alors qu’on ait le sentiment d’un immense gâchis de la volonté de participation de nos concitoyens ?
13 ans de calcaire dans nos tuyaux, merci qui ?
Jusqu’en 2004, notre eau potable provenait de deux origines : des puits dans le lit de la Loire fournissaient de l’eau de surface, et des puits profonds, dans la nappe d’eau du Cénomanien complétaient. En 2004, on trouve du manganèse dans l’eau de surface. Provisoirement, on arrête de pomper cette eau, et tout est reporté sur le cénomanien, avec deux inconvénients majeurs : l’eau du cénomanien est très calcaire, et la nappe, surexploitée, est en danger : depuis des décennies, on prévoit d’y baisser les prélèvements.
Améliorer et réduire l’éclairage public.
Comment économiser l’énergie en mettant en place l’extinction de l’éclairage public en nuit profonde , soit de 1h à 5h30 , sur certains quartiers, tout en garantissant la sécurité des habitants, c’est le défi à réaliser. Nous prétendons que cela est possible, d’autres communes y sont parvenues après une période d’expérimentation.
Non au compteur Linky à Saint Pierre !
NON au compteur Linky à Saint Pierre !
Tel qu’il est proposé, ce compteur nous semble donc inutile, potentiellement dangereux et cher. Son installation coûtera la bagatelle de 5 milliards qui seront répercutés sur nos factures. Mais ENEDIS qui l’installe n’est pas propriétaire des réseaux. C’est la commune qui l’est. Elle peut donc décider de s’opposer à cette opération. Nous demandons un débat au Conseil Municipal, et nous vous engageons à exprimer votre refus.
Plus VELOce, plus sûr, plus propre…
Le vélo, c’est réduire les émissions de gaz à effet de serre, améliorer la qualité de l’air pour tous, mettre en pratique une activité physique quotidienne, réduire les nuisances sonores. Il faut rapidement accorder une vraie place au vélo à St Pierre, en faciliter l’usage. Notre devise serait alors « Velocius, tutius, mundius ! ».