Le confinement, en entraînant la diminution drastique de l’activité humaine (chantiers divers, circulation des voitures, des camions et des avions) a redonné le champ libre à la nature sous toutes ses formes. On a tous entendu, quel que soit notre logement, dans le silence revenu, plein de chants d’oiseaux très variés, observé des nidifications dans le moindre petit bosquet, vu des fleurs sauvages pousser au bas des murs, dans les interstices des trottoirs et des chaussées. On a mesuré alors notre chance d’habiter une ville avec tous ses espaces verts existants (jardins, bouquets d’arbres, friches, aménagements floraux de la part des services communaux). CLIQUEZ SUR LE TITRE POUR L’INTÉGRALITÉ .
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